Le programme d'aujourd'hui etait dedie au marche aux puces du Tokyo International Forum qui se tient tous les 2nd dimanches du mois. Arrivee la-bas, j'apprends que ca a ete annule pour cause de pluie (ce que je ne comprends mal car le Tokyo International Forum est couvert, mais bon)
Tant qu'a m'etre deplacee, je decide d'aller voir l'exposition qui se tient actuellement au Forum (et qui elle, n'a pas ete annulee pour cause de pluie soit dit en passant...)
Evidemment, je n'ai aucune idee de ce que je m'apprete a voir
Il s'agit donc d'une expo... de calligraphie....
Je dois avouer que ca me laisse assez perplexe
Les gens sont la pour admirer....des mots. Des mots ecrits au pinceau sur une feuille de papier.
Heureusement que les traductions en anglais sont la.
Mais finalement, je ne sais pas si ca aide vraiment a comprendre cette forme d'art traditionnel.
On notera au passage que je suis la seule non japonaise a visiter cette exposition. No comment...
Les gens admirent et commentent parfois meme de facon animee des phrases telles que "Flowers just bloom.
They bloom the best they can."
"The flowers are supported by the branches
the trunk supports the branches
the roots support the trunk
but we don't see the roots"
"Only human
after all"
On notera qu'il y a des commentaires en japonais. je me demande bien ce qu'ils expliquent.
D'autres oeuvres m'interpellent encore plus
"By "shiki soku zekuu" I wake up
by "kuu soku ze shiki" I wash my face"
J'aimerais dire : ????????????????????
lundi 15 décembre 2008
lundi 8 décembre 2008
Un dimanche au parc
Le dimanche est sans doute la journée la plus vivante à Yoyogi.
Entre les ados "deguisés" à la sortie du métro, les rockeurs à l'entre du parc, et puis les diverses activités qui ont lieu dans le parc même, on ne s'ennuie pas. Alors évidemment, il y a les familles avec leurs enfants, les traditionnelles promenades de chien, même si encore une fois, à Tokyo, cette simple activité prend une tout autre dimension: 1/ on ne sait pas si les chiens appartiennent effectivement à leur maîtresse 2/ils sont systématiquement affublés de petits vêtements tous aussi farfelus et ridicules les uns que les autres. des magasins sont dédiés rien qu'à ça de toutes façons. Mais il y avait aussi des ados (garcons et files) s'entrainant à danser sur des choregraphies de type boys band, et groupes de gens gesticulant et se faisant filmer (mais là j'ai pas bien compris de quoi il s'agissait) et puis encore des filles qui chantaient (c'était d'ailleurs assez joli et tres agréable. je serai restée plus longtemps à les écouter si je n'avait pas commencer à congeler sur mon petit tronc d'arbre)
Entre les ados "deguisés" à la sortie du métro, les rockeurs à l'entre du parc, et puis les diverses activités qui ont lieu dans le parc même, on ne s'ennuie pas. Alors évidemment, il y a les familles avec leurs enfants, les traditionnelles promenades de chien, même si encore une fois, à Tokyo, cette simple activité prend une tout autre dimension: 1/ on ne sait pas si les chiens appartiennent effectivement à leur maîtresse 2/ils sont systématiquement affublés de petits vêtements tous aussi farfelus et ridicules les uns que les autres. des magasins sont dédiés rien qu'à ça de toutes façons. Mais il y avait aussi des ados (garcons et files) s'entrainant à danser sur des choregraphies de type boys band, et groupes de gens gesticulant et se faisant filmer (mais là j'ai pas bien compris de quoi il s'agissait) et puis encore des filles qui chantaient (c'était d'ailleurs assez joli et tres agréable. je serai restée plus longtemps à les écouter si je n'avait pas commencer à congeler sur mon petit tronc d'arbre)
cry baby style
En sortant du JR a Harajuku, je décide pour une fois de ne pas immédiatement plonger dans la foule emprunte de fièvre acheteuse le long de la Takeshita Dori, mais de me tourner vers le parc de Yoyogi, dont j'espérais pouvoir capturer les couleurs automnales, si tant est qu'il en restât. Plus je m'aprochais, plus la musique qui se faisait entendre et me semblait familiere s'expliqua.
Un groupe jouait a qui voulait l'entendre des tubes des années 50.
Ces rockeurs de yoyogi park m'ont d'abord surprise, puis amusee, mais finalement, c'était bien sympathique, entrainant, plein de vie.
Un véritable retour dans le passé. Une ambien Grease, pas déplaisante du tout, a l'orée du parc Yoyogi, le premier week-end de décembre, bien ensoleillé.
Alors j'ai pas bien compris si c'était les Kools vs les Black Shadows, ou bien tous pour un et un pour tous, en tous les cas, ce qui est sûr, c'est que ca demande une certaine preparation de fonds et de forme. Alors séance de coiffure, blousons de cuirs de circonstance, et poulettes a jupettes fifties. Tous les ingredients sont là. Sur un fonds de musique bien rythmée, on en redemande!!
Un groupe jouait a qui voulait l'entendre des tubes des années 50.
Ces rockeurs de yoyogi park m'ont d'abord surprise, puis amusee, mais finalement, c'était bien sympathique, entrainant, plein de vie.
Un véritable retour dans le passé. Une ambien Grease, pas déplaisante du tout, a l'orée du parc Yoyogi, le premier week-end de décembre, bien ensoleillé.
Alors j'ai pas bien compris si c'était les Kools vs les Black Shadows, ou bien tous pour un et un pour tous, en tous les cas, ce qui est sûr, c'est que ca demande une certaine preparation de fonds et de forme. Alors séance de coiffure, blousons de cuirs de circonstance, et poulettes a jupettes fifties. Tous les ingredients sont là. Sur un fonds de musique bien rythmée, on en redemande!!
dimanche 7 décembre 2008
Yasukini shrine antique market
Pour trouver tous les marches aux puces et antiques de Tokyo
http://www.paperlantern.net/fleamarket/antique.html
http://www.facebook.com/album.php?aid=186779&l=6885b&id=743615012
dimanche 30 novembre 2008
Takao-san
Une promenade vivifiante en cette journee automnale du 30 novembre, tant par les efforts que par les couleurs éclatantes qui m'ont accompagnées pendant tout mon parcours, jusqu'au sommet du Mont Takao, 599m, et sa vue sur le Mont Fuji.
La pente est raide, mais les 3.8km se font finalement plutôt bien, même s'il fait un peu chaud a l'arrivée.
Peu d'Occidentaux sur le chemin (pour ainsi dire aucun). Je suis pourtant loin d'être seule pendant cette montée. Enfin, c'est ce que je croyais avnt d'arriver au sommet. C'est alors que la definition du mot "foule" a pris tout son sens.....
Enfin, pour admirer le Mont Fuji, peu importe la concession nécessaire.....
Pour plus de photos, suivez le lien http://www.facebook.com/album.php?aid=183882&l=f0b77&id=743615012
La pente est raide, mais les 3.8km se font finalement plutôt bien, même s'il fait un peu chaud a l'arrivée.
Peu d'Occidentaux sur le chemin (pour ainsi dire aucun). Je suis pourtant loin d'être seule pendant cette montée. Enfin, c'est ce que je croyais avnt d'arriver au sommet. C'est alors que la definition du mot "foule" a pris tout son sens.....
Enfin, pour admirer le Mont Fuji, peu importe la concession nécessaire.....
Pour plus de photos, suivez le lien http://www.facebook.com/album.
lundi 24 novembre 2008
Tokyo Midtown
Quand Tokyo se met aux couleurs de Noel
a day at the zoo
The weather was good but cold. so I decided to go for a walk at the zoo, in the Ueno park. Here they were, the pink flamingos, the monkeys, the penguins, the lions and the elephants and so on.
There were bats, and tiny tiny japanese mice, and other animals I had never seen before. I really liked a strange bird, that looked almost fake, they didnt move, like statues. They are called shoebill storks.
But the real aim of this trip was to see the famous giant panda.
I had entered from the opposite gate, so I had to walk all the way down to the panda's place.
When I got there, what a choc!
There was no panda. Or at least, the one I was expecting to see. Instead of the giant panda, the black and white panda, there were red pandas. they are really small and cute, and have nothing to do with the idea you usually have when you think of a panda.... The poor panda. I didn't know he had died earlier this year....
jeudi 20 novembre 2008
dimanche 16 novembre 2008
Omotesando et ses boutiques
Après une balade dans les environs de mon quartier (durant laquelle j'ai réalisé que la Tour de Tokyo n'est pas bien loin) je suis partie à l'exploration d'autres horizons.
Mes jambes m'ont ainsi entrainées vers Omotesando et Harajuku, finalement relativement rapidement.
L'estomac dans les talons, je fais la queue (derriere 2 personnes) dans un fast-food (je dirais plutot slow-food, enfin...) Hawaien. Apres 20 bonnes minutes, on m'annonce qu'ils ne peuvent plus servir car il n'y a plus de place. Tout cela avec une lenteur relativement crispante. Je renonce donc, et poursuis ma balade tranquillement. Après un dédale de petites ruelles ponctuées de magasins branchés, je debouche sur une grande avenue très animée, entre les boutiques Dior et Chanel. Je jette donc mon dévolu sur.... Kiddiland. 5 etages de babioles pour enfants, ultra bondé et assez bruyant. Mais le paradis des jouets, et produits Hello Kitty, Little Twin Star, Totoro et Cie....Je ne sais plus que choisir.
Outre le fait que me rappeler que Tokyo est une ville pleine de tentations a tous les prix, j'aurai découvert aujourd'hui l'emplacement du magasin Pierre Hermé, ce qui peut etre interessant en cas d'urgence....
jeudi 13 novembre 2008
Arrivée a Tokyo ou une journée prédestinée au shopping
Si les arrivées sont rarement triomphales, la mienne l'était encore moins.
Quelques peu fatiguée de mes 10,000heures d'avion, dont le changement à Paris (i.e. levée a 5h du mat London time) auxquelles s'ajoutait un voisin qui avait la bougeotte et qui passait son temps à se lever (eh bien oui, je voyage encore et toujours en éco, et vu l'état du marché, ca ne risque pas de changer de sitôt), bref, disais-je, l'avion se pose a l'aéroport de Narita avec quasiment 30minutes d'avance. Il est donc environ 8h30 du matin.
Plutôt que de nous faire profiter de cette avance inattendue, le pilote décide de débuter la visite touristique par un petit tour d'aéroport. histoire de remettre les pendules a l'heure.
Controles de douanes, puis l'épreuve du tapis roulant. Les yeux mis-clos, je regarde les valises se deverser les unes apres les autres, jusqu'à ce que je réalise que mon nom est écrit en gros depuis le depart sur un tableau: mes bagages ne m'ont pas suivis!!!........
Après avoir rempli le formulaire, je me rends, dépitée, (vous qui me connaissez, vous comprendrez bien qu'il s'agit là d'un euphémisme) vers le terminal des bus qui m'amèneront à mon nouveau logement, un appart-hotel a Roppongi Hills, non loin de mon lieu de travail.
J'essaie de voir le bon côté des choses : au moins, je n'ai pas à me trimballer 35kg de bagages.
L'inconvénient c'est que je n'ai aucune fringue de rechange, et aucune garantie de recevoir mes bagages le soir-même... Le shopping s'impose donc comme une évidence.
Zara (seul magasin abordable de Roppongi Hills) sera mon sauveur, comme au bon vieux temps.
Merci aux centres commerciaux ouverts le dimanche!
Finalement, les bagages me sont délivrés a 23h.
Libérée d'un stress palpable, je m'endors comme une masse.
Quelques peu fatiguée de mes 10,000heures d'avion, dont le changement à Paris (i.e. levée a 5h du mat London time) auxquelles s'ajoutait un voisin qui avait la bougeotte et qui passait son temps à se lever (eh bien oui, je voyage encore et toujours en éco, et vu l'état du marché, ca ne risque pas de changer de sitôt), bref, disais-je, l'avion se pose a l'aéroport de Narita avec quasiment 30minutes d'avance. Il est donc environ 8h30 du matin.
Plutôt que de nous faire profiter de cette avance inattendue, le pilote décide de débuter la visite touristique par un petit tour d'aéroport. histoire de remettre les pendules a l'heure.
Controles de douanes, puis l'épreuve du tapis roulant. Les yeux mis-clos, je regarde les valises se deverser les unes apres les autres, jusqu'à ce que je réalise que mon nom est écrit en gros depuis le depart sur un tableau: mes bagages ne m'ont pas suivis!!!........
Après avoir rempli le formulaire, je me rends, dépitée, (vous qui me connaissez, vous comprendrez bien qu'il s'agit là d'un euphémisme) vers le terminal des bus qui m'amèneront à mon nouveau logement, un appart-hotel a Roppongi Hills, non loin de mon lieu de travail.
J'essaie de voir le bon côté des choses : au moins, je n'ai pas à me trimballer 35kg de bagages.
L'inconvénient c'est que je n'ai aucune fringue de rechange, et aucune garantie de recevoir mes bagages le soir-même... Le shopping s'impose donc comme une évidence.
Zara (seul magasin abordable de Roppongi Hills) sera mon sauveur, comme au bon vieux temps.
Merci aux centres commerciaux ouverts le dimanche!
Finalement, les bagages me sont délivrés a 23h.
Libérée d'un stress palpable, je m'endors comme une masse.
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